Présentation
Philippe BIAU architecte DPLG, après 14 ans passés à la direction de bureau d’études d’entreprises de construction bois et métal, crée la société de maîtrise d’œuvre de bâtiments Sol’ID en 2008.
Sol’ID exerce sous forme de société d’Architecture à partir de 2013. Installée au cœur du Lauragais Toulousain, elle intervient dans ce secteur géographique et dans Toulouse pour les projets de particuliers que ce soit en neuf ou en rénovation.
Elle intervient dans ce secteur et dans le grand Sud-Ouest pour tous les projets de bâtiments tertiaires, commerciaux, industriels et ouverts au public, que ce soit en marché privé ou en marché public.
Avec son expérience et de nombreux projets à son actif la société d’Architecture Sol’ID est en mesure de mettre à la disposition de ses clients, écoute, savoir-faire architectural, connaissances techniques dans la construction traditionnelle et dans les techniques industrialisées bois et métal et expérience du chantier.
“J’ai toujours aimé le désert.
On s’assoit sur une dune de sable.
On ne voit rien.
On n’entend rien. Et cependant quelque chose rayonne en silence…”
Antoine de Saint Exupéry
“Toute action naturelle est engendrée par la nature de la plus courte façon que l’on puisse trouver.”
Léonard de Vinci
1965
Philippe BIAU est né en 1965 à MONTPELLIER. Il grandit dans le Sud Aveyron où il fait ses études primaires et secondaires.
1985
Il commence ses études d’architecture en 1985 à l’école d’architecture de Montpellier dont il sort diplômé en 1991.
1991
Il débute professionnellement par des collaborations au sein d’agences d’architecture entre 1991 et 1994. La plus marquante a été celle avec l’agence de Saâd BENKIRANE à Rabat au Maroc en 1991 et 1992. C’est ébloui par l’architecture du soleil qu’il fait ce qui est pour lui la vrai découverte des concepts de l’architecture moderne, dont LE CORBUSIER, MIES VAN DER ROHE, LOUIS KAHN et FRANCK LLOYD WRIGHT étaient les maitres dans la première moitié du XXème siècle. L’adaptation de ces concepts au contexte climatique Marocain est évidente. Ici, les contraintes extrêmes conditionnent la forme des bâtiments qui sont comme modelés dans la terre même dans laquelle ils se fondent. Rien de gratuit dans cette architecture si simple, si intelligente et ô combien humaine, dont le défi est de protéger l’espace intérieur de la fournaise diurne tout en offrant le répit de la fraicheur nocturne. Constructions massives ou élancées qui jamais ne renient leur passé et qui jamais ne transigent avec l’esprit et la matière. Une ouverture, simple rectangle sur ces parois d’argile et la lumière jaillit tandis que le regard file au loin au‐delà des dunes. Constructions brutes et opaques de l’extérieur mais qui protègent cours et jardins, intériorités salvatrices pour qui habite les lieux. Jeux de parois opaques, de claustras, de protections solaires, de Moucharabiés pour voir sans être vu, équipements ancestraux et si contemporains à la fois.
1994
De 1994 à 2008 s’en suit une trajectoire atypique avec une longue période d’exercice à la direction de bureaux d’études d’entreprises de constructions bois et métal. Période très formatrice aux techniques du bâtiment, à l’économie du projet, et à l’organisation du chantier. Néanmoins, la passion de l’Architecture est toujours là et de plus en plus pressante.
14 années passées à lire les ouvrages d’architectures, à regarder et visiter les réalisations contemporaines, à suivre l’actualité et étoffer les références, à prendre le recul sur les convictions premières et affiner les certitudes d’aujourd’hui.
14 années à peaufiner le dessin et la conception du détail car, pour lui, il est nécessaire d’en chasser le diable qui s’y dissimule.
2008
Le frein est rongé quand, en 2008, il décide d’un nouveau départ afin de concrétiser cette passion en créant la société d’Architecture Sol’ID.
Pour lui, l’Architecture est contextuelle. Elle nait de la rencontre de la raison, du besoin et du désir. Elle est humaine, sensible et sensuelle. La simplicité doit être la quête permanente du concepteur. Elle est complexe à obtenir car elle résulte de la raisonnable résonnance des différentes forces et tensions qui animent le projet.
Pour lui, l’écoute est le préalable à la démarche de conception : Cela revient parfois à écouter les bruits du désert et à entendre l’inaudible, cela revient parfois aussi à entendre à travers le flot tumultueux des mots, le silence du non‐dit, enfin cela revient heureusement aussi souvent à écouter et entendre tout simplement ce qui est dit.
Aujourd’hui
« Faire ce qui est dit et dire ce qui va être fait », voilà pour lui la règle d’honneur et de conduite qui le lie à ses clients, garante de son honnêteté et de sa loyauté.
« Ce qui est dessiné doit être ce qui est réalisé », est une autre façon de l’exprimer.
Les pieds sur terre et la tête …. sur les épaules. Voilà pour lui ce qui est aussi nécessaire à la bonne conduite d’un projet architectural. Réponses spatiales et architecturales en parfaite adéquation avec le programme. Réponses techniques adaptées au projet et à son contexte. Choix architecturaux économes, aujourd’hui et demain. Respect des délais. Respect des réglementations techniques et des normes en vigueurs. Respect des intervenants et des entreprises. Respect de la maitrise d’ouvrage. Respect du projet. Respect de l’environnement.
Désormais forte des convictions de son créateur et avec de nombreux projets à son actif, la société d’Architecture Sol’ID est en mesure de mettre à la disposition de ses clients, écoute, savoir‐faire architectural, connaissances technique dans la construction traditionnelle et dans les techniques industrialisées bois et métal et expérience du chantier.